Les meilleures murales de San Francisco

Murale sur laquelle on peut voir l'illustration du diable et autres superstitions, avec une note de l'artiste qui s'inquiète de voir son oeuvre vandalisée, voire détruite.

Septembre 2010 je m'envole avec Air Canada vers les États-Unis. Je rejoins la côte du pacifique un peu avant 12 h. Le soleil brille. Une fois à bord de l'autobus qui me mènera jusqu'au Bed and Breakfast où une chambre m'attend, je n'ai plus qu'à profiter de mon nouveau statut d'étranger. Assise tout à côté de Steph, j'observe : les autres passagers, les commerces, les passants, les immeubles... La ville qui vit, quoi! Bien vite, je suis envahie d'un besoin de respirer et ressentir cette ville. Nous décidons de descendre du bus quelques arrêts avant la destination et que commence immédiatement notre découverte de San Francisco!

Tout au long de mon séjour, je parcours les rues des différents quartiers où se dressent d'étonnantes murales. Certaines me fascinent, d'autres me laissent perplexe ou m'interpellent. Les murales sont éphémères, comme en témoigne la note de l'artiste de la murale El Mismisimo Diablo. C'est pourquoi j'aime prendre ces oeuvres d'art en photo. En voici donc quelques-unes, peut-être n'existent-elles déjà plus...

Je trouve cette murale très réussie. Le visage de cette femme est expressif, et les détails me rappellent les héroïnes de bande-dessinée ou de contes fantaisistes.
Sur cette très belle murale, un chat ailé, une clé au-dessus de la tête, tient une épée et a un serpent enroulé autour de lui.
Sur cette murale, on peut lire : « The same wind that uproots trees makes the grass shine. » Le même vent qui déracine les arbres fait briller l'herbe.
Très belle murale à l'arrière plan plutôt graphique et que dire de ces deux majestueux éléphants.
J'aime le concept de cette murale : un homme se tient debout dans un paysage à la fois surréaliste et mathématique et, à travers sa silhouette, on peut apercevoir une rue et des bâtisses.